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Retranscription

Bonjour à tous et bienvenue dans le podcast Optimiser votre potentiel de f bien Ce podcast est fait pour vous donner des astuces pour mener à bien votre remise en forme ou tout simplement atteindre vos objectifs. Vous m’entendrez chaque épisode tout seul vous donner des conseils sur des termes particuliers ou échanger avec des invités ou des clients à succès maintenant sans plus attendre l’épisode du jour.

bonjour à tous et bienvenue sur cet épisode un peu spécial du temps des fêtes où on va parler de la gestion justement du temps des fêtes c’est-à-dire Noël et le jour de l’an et également la planification des objectifs pour deux mille vingt quatre alors pour commencer. C’est une période où on voit toujours beaucoup d’entraîneurs ou d’influenceurs faire des postes sur les réseaux où ils vont évoquer, donner des astuces sur comment gérer cette période qui est très riche En repas, on va avoir des repas entre amis, on va avoir des repas.

spéciaux au travail, des soupers de Noël, des soupers d’équipe et chacun va y aller en disant qu’est ce qu’il faut faire, selon lui, pour réussir à garder le cap et atteindre nos objectifs. Alors j’ai décidé de faire mon intervention personnelle là-dessus et de montrer un petit peu ma vision des choses.

personnellement, mon point numéro un, c’est que je n’aime pas mener un combat qui est perdu d’avance. C’est pour ça que je ne fais pas vraiment ce genre de poste. Quand arrive la période des fêtes, il faut savoir que c’est une période qui est riche en émotions Déjà. Premièrement, les gens arrivent là un petit peu fatigués.

Il y a eu beaucoup de travail depuis la reprise de Noël. Ensuite, on va voir des amis. On va être avec nos collègues de travail, mais dans un contexte un peu plus festif. On sera un petit peu euphorique et on va avoir tendance à manger des choses que l’on ne mange pas. D’habitude, on va aller si on veut, on va se laisser aller à ce plaisir là.

Donc personnellement, je ne mets pas trop de barrières aux gens à ce moment là, parce que je sais que dans la majeure partie des cas, ça va être très difficile à contenir. Je donne plutôt certains conseils, certaines astuces, c’est beaucoup plus facile. Par exemple, avec un athlète, on sait qu’un athlète qui a un gros objectif à atteindre souvent, ça va être plus facile pour lui de faire attention à ce qu’il va faire pendant la période de Noël.

Mais pour Monsieur Madame, tout le monde qui a un objectif, je dirais beaucoup plus mesuré entre guillemets, c’est à dire ça représente peut-être le quatre vingt dix neuf pour cent de la population, il va falloir faire des compromis. Donc moi, ce que je vais dire à ce moment-là, c’est que je vais donner des options.

La première option, ça va être d’augmenter son activité physique. Pourquoi? Tout simplement parce qu’on va augmenter le nombre de calories que l’on va brûler. Donc si pendant les fêtes, des fois on va tomber en vacances pendant les fêtes, si pendant les fêtes on est en vacances, qu’on a peut être un peu plus de temps.

Qu’est ce qu’on va faire? On va essayer de bouger plus. On va essayer de marcher plus, bref, de s’entraîner plus pour brûler plus de calories et équilibrer la balance entre ceux qui rentrent et ceux qui sont un facteur contrôlable. Bien sûr, dans le métabolisme, on va voir que le le type, la morphologie de la personne.

Une personne qui a plus de masse maigre, c’est-à-dire, plus de muscles va avoir tendance à brûler plus d’énergie de façon quotidienne. Mais ça, ça ne va pas changer d’une semaine à l’autre, tandis que le contrôle de l’activité, oui, c’est quelque chose que je suis capable de contrôler. mon point numéro deux, c’est ne sabote pas tout et qu’est ce que je veux dire par là?

Je veux dire qu’en fait, c’est normal que tu aies des repas qui soient plus riches, avec une nourriture différente, une nourriture bien santé et des fois je dis nourriture, mais les boissons vont avec. C’est normal de se laisser aller pendant le temps des fêtes parce que c’est un peu fait pour ça. C’est un peu le moment où on va avoir plus tendance à le faire.

Par contre, un repas reste un repas et il ne faut pas tomber dans l’engrenage où au lieu de se dire, il y a quelques repas qui vont sortir de la norme. En fait, avoir un trois semaines où on ne contrôle plus rien du tout et on sait comment ça se passe. C’est un engrenage quand on commence à sortir.

déraille une fois, on se dit Ah, c’est bon, je suis sorti, j’y vais en ligne et finalement on se retrouve à consommer des choses moins bonnes à quasiment tous les repas. Et ça, ça peut planter notre objectif. Il y a aussi. Alors ça, c’est un conseil tout bête. Si tu fais de la nourriture à Noël, si il y en a beaucoup donne-la dispatche la à tes amis, essaie de ne pas tout garder à toi chez toi parce que tu vas vouloir cette cette Si tu gardes des gâteaux, si tu gardes des choses comme ça, cette nourriture va te tenter et tu vas toujours vouloir en prendre un petit peu tous les jours tandis que si tu ne l’as plus chez toi, elle ne va pas te tenter.

Ça va être beaucoup plus facile de retrouver ton bit. Personnellement, je n’aime pas trop restreindre les gens. et mes clients pendant la période de Noël. Tout simplement parce que je vais prendre mon exemple personnel. J’ai fait ce que j’ai voulu, le vingt-quatre. J’ai fait ce que j’ai voulu, le vingt-cinq, le vingt-six.

J’étais debout, j’étais dehors à huit heures avec mes running pour courir pendant une heure. Et honnêtement, je n’avais plus envie de rien. Je ne il y a pas une nourriture qui me faisait envie. Il y a pas quelque chose à boire qui me faisait envie. J’étais déjà prêt. J’étais déjà sur la piste à reprendre mes bonnes habitudes.

Et parfois, certains, même à ce moment là, vont partir sur de bonnes bases pour créer de bonnes habitudes parce qu’ils se sont sortis leur envie du système et ils sont prêts à avancer. Ensuite, on va voir les erreurs à ne pas faire, donc les erreurs. Déjà, premièrement, comme on disait, un mauvais repas en appelle un autre.

Donc on ne veut pas. On l’a vu tomber dans cet engrenage, on veut se dire OK, j’ai quatre, cinq repas différents, mais j’ai pas trois semaines totales de perte de contrôle. Donc ça, c’est le point numéro un qu’on avait déjà évoqué. Ensuite, on va avoir le point numéro deux ne limite pas trop tes apports de la journée et ça, souvent on va avoir tendance à le faire.

Des gens vont se dire OK, c’est entre guillemets, une forme de punition ou de prévention. On va se dire Ah, ce soir j’ai un repas, Je sais qu’en famille et quand je mange chez le tonton ou chez la Tati ou je sais pas, c’est des repas qui sont très riches. Donc qu’est ce que je vais faire? Je vais me priver toute la journée pour garder mes calories pour le soir.

Ça c’est pas complètement faux, mais c’est définitivement pas la bonne chose à faire et ce n’est pas juste restreindre un peu les calories dans la journée. C’est compréhensible, mais il ne faut pas s’affamer parce que qu’est ce qui va se passer? Ce qui va se passer, c’est que notre corps va emmagasiner une forme de dette pendant toute la journée.

Et quand on va arriver le soir, on va avoir des formes de rage. Ça sera beaucoup plus difficile quand on va sortir les choses et les mettre sur la table, de ne pas se jeter dessus et on va avoir tendance à manger un petit peu de tout. Et finalement, on va parfois même trop manger et exploser tout simplement nos calories, Se sentir mal après être ballonné.

Un bon plan en fait, c’est d’avoir un compromis là dedans aussi. Et de se dire OK toute la journée je mange quand même. J’ai quand même mes apports même si peut-être je les réduis un peu. pour ne pas s’affamer et ne pas déclencher de rage le soir quand va venir le moment du repas pour que j’arrive à rester quand même relativement raisonnable.

En bref, pour résumer cette partie, il faut faire des compromis et agir intelligemment. Je ne veux pas perdre un contrôle total. J’accepte que je vais avoir des repas qui seront différents, mais je ne fous pas. toute une période en l’air et je peux augmenter mon niveau d’activité sur tous les jours où je vais consommer plus de choses.

Je peux faire des entraînements, je peux marcher, je peux courir, bref, faire ce que je veux mais augmenter ma dépense journalière. Ensuite, on va évoquer le deuxième point de ce podcast et le deuxième point, c’est comment aborder l’année deux mille vingt quatre intelligemment. Et je précise intelligemment pourquoi.

parce qu’en fait, souvent, euh, beaucoup de gens vont avoir une image de ce qu’ils veulent, mais ne vont pas forcément penser au processus qui va les amener là. C’est pour ça qu’on voit beaucoup de départs en flèche et d’abandon au bout de quelques semaines. Donc mon conseil numéro un là-dessus est Pour moi, c’est quelque chose de très important, surtout quand on est une personne extrême, qu’on vit un peu dans le tout ou rien.

Moi, j’étais un petit peu comme ça personnellement, même beaucoup. Et euh, c’est soit j’avais pas envie de faire quelque chose, mais quand j’avais envie, j’y allais à deux cents pour cent. Puis je planifiais trop de choses, donc dans mes objectifs annuels, que ce soit en business ou en remise en forme.

plutôt en entraînement parce que dans mon cas, ce n’est pas vraiment de la remise en forme, mais j’allais me donner beaucoup trop d’objectifs. Puis, au bout d’un moment, je me rendais compte que mes journées ne sont que de vingt quatre heures, que j’ai trois enfants à m’occuper et que je ne pouvais absolument pas faire ce que j’avais planifié.

Donc il est mieux de cibler. des petits objectifs atteignables, c’est beaucoup plus facile. Un deuxième point bi smart soit intelligent. Il faut être conscient de sa condition quand on établit des objectifs et choisir les bons outils. Et ça, c’est toujours un problème, un problème récurrent que j’explique aux gens.

Quand arrive le début de l’année janvier, beaucoup de gens s’inscrivent au gym et rendu en février et mars. Il n’y a plus personne qui va au gym et c’est comme ça que les gym font leur argent. Mon point, c’est qu’il faut mettre en place quelque chose qui nous convient par rapport à notre type de personnalité et par rapport à notre niveau.

C’est super important. Un débutant selon moi. et mieux d’investir dans du savoir que dans du matériel. Bien sûr, le matériel est important, mais le savoir est encore plus important parce que si on rentre dans un gym le premier janvier et qu’on ne connaît rien en entraînement, on ne va pas en connaître plus.

Le deux janvier, ça c’est évident, ça prend du temps, c’est un métier. Il faut arriver à trouver le bon plan. Et pourquoi? Parce que souvent on va avancer sans plan, pensant que ce que l’on fait, c’est bien parfois, mais on va s’apercevoir que de semaine en semaine, on n’a pas les résultats escomptés. Et qu’est ce que ça va donner ça?

Ça nous démotive et on pense qu’on ne va pas y arriver. C’est tout simplement qu’on n’a pas mis notre énergie ou nos finances au bon endroit. On va penser avoir fait une économie, mais en quelque sorte, on aura perdu de l’argent parce qu’on va investir dans un membership à l’année que l’on va perdre parce qu’on va abandonner au bout de deux, trois mois, tandis que payer un entraîneur sur quelques mois au début, qui va nous faire un plan sur mesure?

Et bien c’est très bon parce que on va atteindre nos objectifs et on va avoir de bons et c’est motivant pour continuer. donc investissez dans un plan, c’est très important. On voit aussi beaucoup d’entraînement en ligne qu’on appelle l’entraînement online. Alors c’est quoi le principe? Le principe, c’est qu’il y a un entraîneur qui, à distance, va vous coacher pour atteindre vos objectifs.

Ça peut être très bien. Pour certaines personnes, ça peut être moins bien. pour d’autres personnes. Et ça peut être là aussi une question de niveau et une question de personnalité. Je fais de l’entraînement en ligne avec de très bons résultats et je vais vous dire un petit peu. Ce que je pense là-dessus, c’est qu’en termes de niveau pour un débutant il faut bien y penser, il faut bien y penser parce qu’on va avoir déjà premièrement avec un débutant.

J’aime bien avoir une évaluation de la condition physique que l’on fait physiquement, pas une évaluation de la condition physique que l’on va faire en ligne parce que physiquement, moi, ça me permet de voir beaucoup plus de choses et de mieux m’adapter au client pour lui donner. le bon programme. Donc pour moi c’est quelque chose d’important.

L’individualisation au début, surtout si en plus, la personne a eu des blessures par le passé parce que on veut tenir compte de ça. Il y a peut être des endroits à renforcer. il y a peut être des endroits à remuscler. Il y a peut être certains mouvements à adapter, même morphologiquement pour la personne, pour la faire progresser tout en sécurité.

Par contre, arriver à des gens qui sont plutôt intermédiaires et avancés, ça peut être un très très bon moyen de s’entraîner si on est quand même déjà assez autonome d’un point de vue personnalité. En fait, ça va correspondre à l’entraînement en ligne de ce que j’ai pu constater à des gens qui sont appliqués, des gens qui vont vouloir respecter le plan, des gens qui ont une certaine rigueur.

Et ça, je le dis souvent. Petite parenthèse là-dessus. Je dis souvent que de mon côté, c’est les gens que je coache le moins qui réussissent le plus. On va trouver des moyens pour les gens qui sont moins rigoureux, mais en fait, le but, c’est de les amener à être plus rigoureux. Mais certaines personnes à chaque fois que je vais regarder leur suivi parce que je pose des questionnaires en ligne auxquels il faut répondre tous les jours, je regarde les entraînements.

Qu’est ce qui s’est passé grâce à une application professionnelle que j’ai et je vois que tous les entraînements sont faits. que toutes les lignes du suivi sont toujours remplies scrupuleusement. Il y a une grande rigueur. Ces gens-là généralement arrivent à une grande réussite et des fois il faut plus les coacher en mettant un frein parce que des fois ils veulent aller trop vite.

Par contre certaines personnes qui sont moins rigoureux et qui sont aussi plus négatifs dans leur façon de voir les choses vont avoir plus de misère. Moi je dis toujours que certaines personnes sont construites par chance. pour réussir et certaines personnes sont construites avec des parasites qui les empêchent de réussir.

Et ce que j’aime faire dans mon métier, c’est arriver à reconstruire ces personnes positivement pour qu’ils accèdent à la réussite. Souvent, je vais poser un verre, des gens vont voir le verre à moitié plein, d’autres vont voir le verre à moitié vide. Ceux qui vont voir le verre à moitié plein sont ceux qui vont trouver une solution dans leur entraînement.

la vie n’est pas plus facile pour eux, mais ils vont rentrer leur entraînement, ils vont préparer des plats, ils vont faire les choses pour que ça arrive, sans utiliser vraiment d’excuses, tandis que d’autres personnes, la moindre petite barrière paraît infranchissable. Et on va dire moi je ne peux pas, ça serait bien, mais moi je ne peux pas parce que ça serait bien, mais j’aimerais faire ça.

Mais je peux pas parce que donc c’est déjà premièrement. essayer d’inculquer à ces personnes Moi, c’est quelque chose que j’ai fait personnellement il y a quelques années, c’est que je décide de fermer les yeux sur le négatif et de me concentrer sur le positif. Je peux le faire à ma façon, à mon niveau.

Donc pour conclure avec ça, si on n’a pas la personnalité aussi qui va avec l’entraînement en ligne, on risque d’investir de grosses sommes. Parce que des fois, c’est c’est vraiment pas donné parce que le suivi est très bien fait. donc on risque d’investir de grosses sommes. Et finalement, si notre rigueur, si on n’est pas rendu là, dans notre façon de fonctionner avec notre mental, on risque de perdre cette somme d’argent.

Et on serait mieux finalement de commencer avec un entraîneur avec des rendez vous précis. On sait que je vais donner un exemple tout bête lundi, mardi à huit heures. Je suis avec lui, c’est dans mon agenda, ça marche comme ça, on est obligé d’y aller. Pour certaines personnes, ça marche mieux dans un premier temps.

troisième point est très important. N’attends pas la motivation, n’attends pas la motivation parce que la motivation est flexible. J’ai même écrit sur mon document. La motivation est flexible, comme Simone Biles, donc c’est pour dire qu’un jour on va être très motivé le lendemain. on le sera moins et la motivation n’est pas quelque chose de constant.

J’ai souvent des clients qui me disent Ah mais toi, tu as de la chance d’être motivé comme ça Et je ris parce que en réalité, ça n’est pas le cas. Des fois, ils me disent Oh, aujourd’hui, je ne suis pas motivé. Moi je dis tu as de la chance parce que moi C’est pas qu’aujourd’hui moi, c’est souvent que je ne suis pas motivé.

J’ai joué au basketball, je me suis rendu à un niveau très intéressant alors qu’à partir de l’âge de dix huit ans, j’ai passé mon temps à regarder l’horloge pour savoir quand est ce que l’entraînement allait se terminer. Ça ne m’a pas empêché d’être là à tous les entraînements et d’atteindre un certain niveau, même si ça n’était pas idéal.

du tout. Ben en remise en forme, c’est la même chose. En business, c’est la même chose. Il faut savoir que les gens qui réussissent à très haut niveau, on va se dire par exemple que les athlètes sont chanceux parce qu’ils sont passionnés et on s’imagine qu’ils ont tous les jours envie de se taper cinq heures d’entraînement.

Mais c’est complètement faux. C’est la rigueur qui fait la différence. Il faut se créer une image. que font les athlètes? Ils ont envie d’être professionnels. C’est pareil. Si j’ai du poids à perdre, il faut que je me crée une image précise de là où je veux me rendre c’est-à-dire. Quelle silhouette et combien de kilos ou de livres est-ce que je voudrais perdre.

même si souvent on va dire que les livres et les kilos, c’est qu’un chiffre sur la balance. Mais des fois c’est quand même relativement significatif. Euh, il faut être optimiste à adopter tout de suite le bon et de se dire je vais y arriver, il faut être en fait, il faut être très positif. Euh il faut être rigoureux, il faut développer de la rigueur dans ce que l’on fait.

Il faut développer de la rigueur parce que les jours où la motivation ne sera pas là, quand la motivation est là, c’est parfait. Mais le problème, c’est pas ça. Le problème, c’est le jour où la motivation n’y sera plus. Qu’est ce qui va prendre le relais? C’est la rigueur et c’est la rigueur avec quoi? Avec la visualisation?

Parce que j’ai un objectif précis et je sais ce que ça me prend. pour m’y rendre. C’est comme on dit toujours, si tu veux garder ton objectif en tête, mets une photo ou écris. là où tu veux te rendre et colle le sur le miroir à chaque fois que tu vas te brosser les dents à chaque fois que tu vas aller dans ta salle de bain à chaque fois que tu vas ouvrir un placard.

Et ben en fait, tu vas le voir, ça va te rappeler où tu veux aller. Ben ça, c’est la même chose les jours où on est moins motivé, où on n’a rien envie de faire, il faut qu’on fasse de la visualisation et qu’on voit notre objectif et où on veut se rendre. Ça nous permet en fait de nous parler et d’avancer.

point numéro quatre. Le gym n’est pas une obligation et je sais que en ce moment, on voit beaucoup de postes, beaucoup d’influenceurs faire de l’entraînement, de la musculation, des trucs comme ça, mais trouve d’abord c’est quoi qui te fait tripper? C’est quoi que tu veux faire? Ça sera beaucoup plus facile une fois de plus.

Quand j’étais basketteur, c’était beaucoup plus facile pour moi de perdre du poids parce que je courais beaucoup, je jouais je m’amusais. Quelqu’un qui s’amuse ne s’aperçoit pas. Ben c’est exagère, Il s’en aperçoit mais s’aperçoit beaucoup moins qu’il est en train de faire un effort parce qu’il a du fun.

Et finalement il a tous les bénéfices de son entraînement. Il aime y aller, donc il y va plus, il aime le faire, donc il le fait plus. point numéro cinq établit le plan le plus simple et réalisable. Pas le plan parfait. Le plan parfait, c’est bien, il sera parfait sur un papier, mais est-ce que tu peux le faire si tu ne peux pas le faire, il est nul.

Il est pas bon parce que tout simplement tu ne le feras pas. Donc mets en place quelque chose que tu peux réaliser avec des outils simples et qui te fait plaisir. Par exemple, si ton objectif est de perdre du poids, prépare tes mille mais va pas chercher des choses compliquées comme du bio comme trop de suppléments, comme des choses comme ça prend des aliments simples que tu aimes manger.

qui sont faciles à cuisiner, qui ne prennent pas de temps. Ça c’est la clé en plus. Ne pas oublier qu’on est en période de récession, tout est cher, l’alimentation a incroyablement augmenté. Il faut aussi que tu sois confortable financièrement dans ton plan. un nombre d’entraînements réalisable. Il m’arrive très souvent d’avoir des gens qui viennent me voir pour de l’entraînement privé.

Et quand je leur dis depuis combien de temps tu ne t’es pas entraîné? En fait, ils me disent que ça fait très longtemps qu’ils ne se sont pas entraînés. Et quand je leur demande combien de séances par semaine ils me disent trois ou quatre, bien souvent, quand je vois la charge de travail et la charge familiale qu’ils ont, ça m’arrive de leur dire.

revoit un petit peu ça à la baisse. Peut être que deux fois dans un premier temps, c’est bien. On ne passe pas de tout de rien. Pardon à tout du jour au lendemain, parce qu’on ne veut pas que ça devienne une corvée. Dans un premier temps, on veut développer un engouement et après, petit à petit, on peut augmenter la fréquence de travail, la fréquence d’entraînement.

ne fais pas ce que tu détestes. Ça, c’est un point important. Souvent, il y a certains entraîneurs qui vont avoir le qui vont avoir le poil, qui séri sur les bras en attendant ça. Mais moi, je fais partie du principe où si une personne n’aime pas faire un mouvement par exemple à la musculation en entraînement, il y en a des milliers.

Personnellement, je suis entraîneur et je ne fais jamais de back squat. Je trouve que ça va mal avec mon morphotype et surtout je déteste faire ça. Par contre, je fais des tonnes de quantité, d’autres squats, des gobelets squat, des split squat Bref, il y en a énormément et ça passe beaucoup mieux. Et je veux garder du plaisir.

Donc je ne me force pas à faire des choses que je déteste parce que je sais que ça va petit à petit me décourager. En fait, il faut faire un compromis entre ce que l’on a besoin de faire et ce que l’on veut faire. Le dernier point, le point numéro six. sois patient. Pour moi, c’est le plus important. On vit dans une société où tout va vite.

L’entraînement, ce n’est pas acheter une civique. On va acheter une civique, elle va être livrée, c’est terminé, elle est là. L’entraînement, ça n’est pas la même chose. Et l’entraînement, ça ne va pas vite parce que quand on rentre dans un processus, quand on a un objectif, il faut savoir qu’on va avoir des petits échecs.

Il faut savoir que la ligne ne sera pas droite, mais il va y avoir des courbes. Ça va être parfois les montagnes russes, mais on s’en fout parce que le principal, c’est d’y arriver. Il va y avoir des hauts et des bas, on va prendre en chemin. Donc souvent les gens vont commencer et Il arrive qu’au bout de trois semaines les gens soient insatisfaits en disant Oh, j’ai perdu que ça.

Mais finalement, quand on analyse les résultats et qu’on est objectif, on s’aperçoit qu’ils sont parfaitement dedans. Par rapport au nombre de semaines, par rapport au temps effectué, les choses prennent du temps. On ne réussit pas du jour au lendemain, on met en place des habitudes qui vont montrer des résultats.

à moyen terme ou à long terme, selon l’objectif et selon le chemin qu’il y a à parcourir. J’espère que cet épisode vous a plu. J’espère vous avoir donné les outils pour vous aiguiller sur comment gérer vos fêtes de fin d’année à partir de l’année prochaine et comment planifier votre année deux mille vingt quatre?

Je vous remercie d’avoir écouté le podcast optimiser votre potentiel et je vous donne rendez-vous au prochain épisode. Bye bye.